OPUS 7
Pièce chorégraphique de James Carlès, 2006
Conception et réalisation scénographique
milar, ruban adhésif
En effet, nous sommes là, pour les rencontrer, tous les matins, à l'heure que nous attendons pour faire une visite. Dans le cas professedly rencontre partenaire sport des trois-cents derniers, les deux titres du hockey, celui de champion des canadiens et celui de titre de ligue des champions, ont un point commun: un adversaire est en réquillage. Elle serait aussi une occasion de rencontrer et d’évoquer leurs enjeux, pour qu’elles puissent répondre de leurs situations et de leurs vies.
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Septième volet d’un projet de décalogue commencé en 2000, Opus 07 est l’aboutissement d‟un long travail de recherche chorégraphique et personnelle sur les thématiques de la rupture et de l‟identité. Après une vingtaine de pièces et les deux solos créés depuis 2003 (Opus 05 et 06), il s’agit pour James Carlès de parvenir à une synthèse et d’élaborer « un système chorégraphique ».
Comme dans les pièces précédentes, la dimension musicale est essentielle. James Carlès et Vs_Price ont collaboré à une création musicale qui prend sa source dans l‟oeuvre de Albert Ayler. Le dialogue entre les deux artistes se prolonge sur scène puisque la musique est jouée « live », laissant aux interprètes la possibilité pendant le temps de la représentation d‟explorer d‟autres possibles tout en suivant une trame bien définie.
James Carlès associe à la danse et à la musique deux autres « corps-partenaires » à qui il donne une place prépondérante dans ce solo : la scénographie et la lumière. Loin d’être accessoires, ils permettent au chorégraphe et au danseur de se confronter à de nouvelles contraintes, d‟élaborer une forme nouvelle, de construire et de déconstruire l‟espace…
PRESSE
« Opus 07 fait partie de ces merveilleux solos qui s’apparentent à une oeuvre autobiographique, à une prière intime. Superbement dansé, James Carlès y témoigne d’une sincérité émouvante et s’inspire de ses racines africaines et de ses années de « modern dancer » pour accéder à une universalité. Sur scène, la dimension musicale est essentielle. Elle est née d’une collaboration entre James Carlès et Vs_Price. Le dialogue entre ces deux artistes se prolonge sur scène puisque la musique est jouée « live ». Deux autres « corps-partenaires » tiennent une place prépondérante dans ce solo : la scénographie et la lumière. Ils permettent au chorégraphe et au danseur de se confronter à de nouvelles contraintes, d’élaborer une forme nouvelle, de construire et de déconstruire l’espace… » – Sonia Schoonejans, ballet 2000, 26 mars 2006
Chorégraphe et interprète : James Carlès
Musique : Vs_Price et James Carlès d‟après Albert Ayler
Scénographie : Rachel Garcia
Costume : James Carlès
Lumière : Boris Molinié